« Le procès des 24 heures motonautiques »
« Un an de sursis requis contre le pilote »
« Je trouve pour ma part consternant que les pilotes eux-mêmes n’aient pas eu plus grand souci de la sécurité. S’ils étaient inquiets des bateaux de commerce, ils auraient pu demander eux-mêmes des renseignements à l’organisation. On ne peut reprocher à un tiers ce que l’on n’a pas fait soi-même.
Ils veulent faire reposer la responsabilité de l’accident sur des gendarmes qui assuraient la sécurité ! je trouve encore une fois consternant d’avoir ainsi voulu retourner les rôles ! »
Ce père de famille attend désormais une indemnisation de la part de l’assurance de l’organisateur à la hauteur du préjudice qu’il a subi, explique Maître PÉRIER-CHAPEAU.